Le 25 juillet 2004, le magistrat fédéral, Clinton Averitte, a accordé la motion en partie, y compris la communication à la défense de toutes les données électroniques et notes de travail du laboratoire privé que le procureur John Mann a payé en 2000 pour effectuer des tests limités sur certains scellés. Il a ensuite été révélé que le laboratoire a mal interprété les résultats et n’a tout simplement pas signalé d’autres résultats à décharge. Pire encore, le laboratoire (GeneScreen maintenant appelé Orchid-Cellmark) a changé son logiciel d’archives ce qui a rendu inaccessibles les données électroniques sous-jacentes et, en dépit de l’arrêt de la Cour ordonnant de communiquer ces éléments à la défense, le personnel de GeneScreen n’a pas coopéré avec les experts en ADN de Hank.